• Séances de ciné

    Petit arrêt sur mon quotidien de détentrice d'une carte illimitée. Un moyen de faire des voyages à 360° tout en restant assise.

  • Avec le temps, Barcelone est devenue une ville dont la réalité m'ennuie. Récemment, je me suis donc réfugiée dans une fiction projetée au cinéma du centre commercial "Arenas", jadis lieu de tauromachie. Guide parfaitement illustré des origines de la violence, Joker est aussi un film choc sur l'intolérance sociale. Magistral Joaquin Phoenix, qui m'a emportée malgré le boucan buccal de spectateurs dont le défi du jour consistait apparemment à finir un pot de pop-corn géant avant la deuxième heure du film.


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  • La vie est faite de petits bassins dont on touche Le grand bainrelativement vite le fond. Alors pour un vrai grand bain, j'ai préféré me jeter à l'eau avec Gilles Lellouche et sa brochette géniale d'acteurs-loosers. Un film alliant humour, liberté, dureté, tendresse et provoquant un flot d'émotions sous un flow de musique qui claque!


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  • Après six mois de travail intense en Catalogne, rien ne vaut un Spielberg (doublé en espagnol...) pour découvrir la salle de ciné de mon nouveau quartier et redécouvrir l´émotion intense que nous font vivre les beaux films remarquant une époque en en marquant une autre.                                           


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  • Ce qui nous lie

    Rien de mieux qu'un Klapisch premier cru quand on revient de 6 mois de voyages! Et quel voyage que ce qui nous lie à l'enfance, à la famille, à la terre et aux sens. Un film magnifique, léger et poignant. Merci à la canicule parisienne, qui m'a amené à me réfugier dans une salle climatisée ; et à Klapisch, pour avoir augmenté pendant 1h54 mon taux d'humidité oculaire.    

     


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  • Quand le reportage dépasse la fiction, l'être humain gagne des points.

    Un moment beau, poignant et qui donne envie de partir à la recherche des pépites de ce Monde.


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  • Juste la fin du monde

    De nouveau, ce film est trop puissant pour ne pas se passer de  commentaires. Restons donc superficiels: j'ai vu ce film de retour du Pérou avec une amie dans un cinéma à Odéon. Il faisait beau avant ; et encore beau après. J'ai encore eu la gorge nouée pendant. Et ce silence de la salle, toujours, au moment de la bande annonce. J'avais mes bottines à talon marron qui annonçaient l'automne.


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