• The Immigrant

     

     James Gray a encore frappé avec The immigrant, film qui parlera aux immigrés officiels, officieux, et à tous les gens du voyage d'hier et d'aujourd'hui...


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    Inside Llewyn Davis est un film touchant et réaliste, maginifiquement réalisé par les frères Cohen, qui donne malgré tout envie de retourner à New York et de rêver d'être un artiste.


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  • Ce dimanche était humide. Il a plu, j'avais mon bas de survêt mouillé. J'ai fait la queue sous l'orage, j'ai pénétré une salle de ciné inondée. J'ai tout fait pour m'installer là où il n'y avait pas trop de monde. Mais Blue Jasmine fait salle comble. Un instant, j'ai maudit Woody Allen. Il faisait chaud. Il faisait humide. Les yeux de Cate Blanchett me faisait penser à l'océan. Son personnage, à une bouteille jetée à la mer, qui finit par se perdre.


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  • Une gamine de 6 ans atteinte d'un cancer qui n'a plus que trois cheveux sur la tête et qui vomit, un couple devenu fou, déchiré et dont le personnage féminin peinturlurée de faux tatouages finit par se suicider. On l'avait pas vu venir...La violence, la tristesse, le sexe: gratuits! Les tatouages, la bluegrass-country, les instants soit-disant politiques, les instants soit-disant émouvants: cheap! A mon humble avis, si on veut faire un film trash et réaliste, ne pas le finir avec des mecs jouant de la country en playback dans un hôpital les 15 dernières secondes d'une existence. Dire que je suis allée voir Alabama Monroe intriguée par le titre et le synopsis quasi-inexistant pour me divertir avant la rentrée...


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  • En pleine averse parisienne liquidant l'espoir d'un été indien, rien de tel que de s'isoler dans une salle de ciné art & essai humide & décrépie pour voir deux bons longs films japonais. Car malgré une fin assez lourde, la série Shokuzai nous fait (re)voyager au Japon tout en dénonçant une société misogyne regorgeant de violence cachée.


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    Dernière séance de ciné avant mon départ pour l'Argentine. J'aurais bien emmené Frances Ha avec moi dans ma valise, sa positivité, sa peur des transitions, son authenticité et son évolution. Mais j'ai un trop petit sac pour une tarée de plus qui fait des arabesques.

     


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